6 étapes pour rédiger sa lettre à l’Univers

6 étapes pour rédiger sa lettre à l’Univers

lettre

La lettre à l’Univers est un rituel aussi simple qu’efficace. Il permet de donner du poids et de la puissance à vos intentions, vos rêves ou vos objectifs. Elle se rédige au présent, comme si tout se dont vous rêviez était déjà en place dans votre vie. C’est un bon moyen de visualiser ce que vous voulez vraiment et ainsi pouvoir les attirer dans votre vie. Le principe est très simple : vous prenez une feuille et un crayon et vous écrivez une lettre à l’Univers. Dans cette lettre vous allez décrire votre future vie, celle que vous rêver de vivre.

Quand écrire sa lettre à l’univers ?

Le rituel de la lettre à l’Univers se fait en lune croissante, c’est à dire entre la nouvelle lune et la pleine lune. Le jour à laquelle vous l’écrivez a aussi son importance suivant le domaine pour lequel vous la rédigez.
Voici à quoi cela correspond :

  • Lundi : tout ce qui touche à l’invisible, l’intuition, la famille, la fertilité, le jardinage, les plantes, la maison , les enfants, les naissances.
  • Mardi : tout ce qui touche la mise en place des projets, l’action, le courage, la force.
  • Mercredi : tout ce qui touche à la diffusion d’informations, écriture, publication, santé maladie, la guérison, les transactions financières, l’école, l’éducation.
  • Jeudi : tout ce qui touche au domaine professionnel, la prospérité, les aspects juridiques.
  • Vendredi : tout ce qui touche à l’argent, les contrats, les partenariats, l’abondance, l’aspect sentimental, l’amour.
  • Samedi : tout ce qui touche à la carrière professionnelle, le pouvoir, la mise en place de projets, l’aspect professionnel.
  • Dimanche : tout ce qui touche à la créativité, l’amitié, les joies, les plaisirs, les sports, les loisirs, le relationnel.

Et pour mettre encore plus de poids à votre lettre, le mois où vous l’écrivez a aussi son importance. Car comme chaque jour de la semaine les mois aussi ont leurs domaines.

  • Nouvelle lune en Bélier (du 21 mars au 20 avril) : action, besoin, projets à mettre en place.
  • Nouvelle lune en Taureau (du 20 avril au 21 mai) : fructifier les talents, les biens matériels, les finances et l’affectif.
  • Nouvelle lune en Gémeaux (du 22 mai au 21 juin) : communication, relations, signatures officielles, déplacements, monde des frères et sœurs.
  • Nouvelle lune en Cancer (du 22 juin au 22 juillet) : amour, famille, foyer, fertilité, affaires familiales.
  • Nouvelles lune en Lion (du 23 juillet au 22 août) : fête, sorties, vie affective, domaine artistique, vitalité, sexualité, créativité.
  • Nouvelle lune en Vierge ( du 23 août au 22 sept) : service, organisation dans le quotidien, travail, santé.
  • Nouvelle lune en Balance ( du 23 sept au 22 oct) : partenariat ,contrat, mariage, union.
  • Nouvelle lune en Scorpion (du 23 oct au 22 nov) : mutation, passion, compréhension.
  • Nouvelles lune en Sagittaire (du 23 nov au 21 dec) : expansion, générosité, enseignement, l’étranger.
  • Nouvelle lune en Capricorne (du 22 dec au 20 Jan) :introspection, fidélité, la carrière professionnelle, la vie sociale, les responsabilités.
  • Nouvelle lune en Verseau (du 21 jan au 19 fev) : communication, réalisation de projets, la vie amicale, changement.
  • Nouvelle lune en Poisson ( du 20 fev au 20 mars) : foi, lâcher-prise, émotions, sensibilité.

Si vous ne trouvez pas de domaine correspondant à vos vœux dans les jours de la semaine ou dans les mois ce n’est pas grave. Ecrivez votre lettre n’importe quel jour et n’importe quel mois du moment que vous l’écrivez en lune croissante. Le tout c’est de l’écrire avec tout votre cœur.

Comment écrire votre lettre à l’univers ?

  • Isolez-vous le temps du rituel.
  • Allumez une petite bougie blanche que vous laisserez se consumer entièrement même si votre rituel est terminé.
  • Prenez trois bonnes inspirations et expirations afin d’être bien ancré dans le moment présent.
  • Visualisez un rayon lumineux qui part de votre cœur et qui va se connecter à l’énergie de l’Univers.
  • Une fois que vous vous sentez prêt, vous pouvez commencer à rédiger votre lettre à l’Univers.

Étape 1 : Cher Univers

Asseyez-vous et commencez à écrire votre lettre. Vous devez l’écrire sur papier lettre avec un stylo, pourquoi pas avec un stylo spécial que vous ne dédiez qu’à cet exercice. Datez la lettre et commencez par « Cher univers ».

Il est très important de faire une lettre manuscrite sinon cela ne fonctionne pas.

Étape 2 : Décrivez votre situation présente

Dites à l’univers ou vous en êtes actuellement (sans vous plaindre)

Par exemple : « Cher Univers, J’ai un mois pour trouver un nouvel appartement et je me sens stressé, mon propriétaire est venu me dire aujourd’hui que je dois partir et je ne vois rien que je puisse faire »

Étape 3 : Déclarez vos peurs

Listez toutes les choses qui vous stressent dans votre situation. De quoi avez-vous peur ? Oui je sais, normalement vous ne devez jamais focaliser sur ce que vous ne voulez pas, mais si vous en êtes au point ou vos peurs ont totalement pris le dessus, vous devez d’abord les identifier pour les supprimer.

Par exemple : « J’ai peur de ne pas trouver d’appartement, j’ai peur de ne pas trouver quelque chose dans mon budget ou que ce soit un appartement miteux et horrible. »

Déclarez toutes vos peurs à propos de votre situation sans retenue.

Étape 4 : Dites à l’univers ce que vous voulez

Maintenant que vous avez dégagé toutes vos peurs et doutes de votre système, utilisez le contraste, et dites à l’univers ce que vous voulez. De quoi avez-vous besoin ? Qu’est-ce que vous voulez ? Ici vous ne pouvez faire que des déclarations positives.

Continuez d’écrire jusqu’à ce que vous vous sentiez vraiment bien.

Par exemple : « Je veux un endroit que je puisse m’offrir, mais qui soit confortable, près des transports publics et de quelques commerces, un endroit qui soit lumineux et ou je me sente bien à tout moment, mon nouveau propriétaire est tellement compréhensif qu’il m’a offert le premier mois de loyer, et les précédents locataires ont même laissé quelques meubles qui vont me servir, je me sens vraiment chanceux d’avoir trouvé cet appartement, il y a encore un mois, je croyais que la situation était mauvaise mais ça n’aurait pas pu mieux tourner. »

Notez comment du « je veux » l’écriture est passée à quelque chose qui existe déjà, c’est quelque chose que vous possédez déjà, vous vous y voyez déjà. Continuez d’écrire plus vous approfondissez votre vision, mieux vous vous sentez, voyez en chaque détail, jusqu’à ce que vous sentiez le sourire venir naturellement sur votre visage.

Étape 5 : Remerciez l’univers

La prochaine étape est de présenter votre gratitude à l’univers. Dites à l’univers “Merci” pour avoir réalisé votre vœu. C’est fait. Ce que vous voulez est maintenant en train d’arriver, vous avez passé votre commande. Dites à l’univers comme vous trouvé ce nouvel appartement fantastique et combien vous êtes pressé d’y être.

Quand vous faites cela, comme j’en parlais dans la loi d’attraction et la gratitude, vous êtes en parfaite harmonie avec votre désir. C’est une grande étape pour augmenter votre vibration.

Étape 6 : Lâchez prise

Votre lettre est terminée, signez la, placez la dans une enveloppe avec « l’Univers » comme destinataire, vous pouvez ensuite la mettre dans une boite spéciale, la brûler ou la jeter. Maintenant que vous avez fait votre demande, votre travail est de lâcher prise, si vous stressez vous allez ralentir la vitesse à laquelle va arriver votre objectif.

Ne vous préoccupez pas du « comment », ça c’est le travail de l’Univers, les opportunités pour réaliser votre souhait vont se présenter naturellement et vous saurez que vous n’avez plus qu’à la saisir.

Lettre à l’Univers à télécharger

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Pour écrire et conserver vos lettres, je vous propose une lettre à l’Univers à télécharger !
Pour la télécharger ? Rien de plus simple ! Cliquez sur l’image ci-dessous et vous aurez accès au fichier. Il suffit ensuite de cliquer sur l’image, puis sur la petite flèche en haut à droite: un téléchargement va se lancer. Il ne vous reste plus qu’à l’imprimer en format A4 !

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7 croyances limitantes qui freinent notre épanouissement

7 croyances limitantes qui freinent notre épanouissement

Que représentent les croyances limitantes ? Les croyances limitantes (appelées aussi croyances irréalistes ou croyances irrationnelles) sont des propositions que nous fabriquons suite à des influences diverses et variées (notre environnement socioculturel, notre éducation…) et qui viennent parasiter notre manière de penser.

Concrètement, les croyances limitantes de la consommation vie dans notre esprit sous forme de petites phrases – ou de petite voix – que nous finissons par intégrer comme étant vraies et fondées. Par exemple :

  • C’est trop dur, je n’y arriverai jamais.
  • Je ne suis pas assez doué pour réussir.
  • Cette personne ne m’aimera jamais parce que je ne suis pas assez beau…

Et c’est là que se situe le problème ; car, une fois installées dans notre tête, ces croyances brouillent notre perception de la réalité, elles nous freinent, nous apportent à nous saboter… et nous empêchent d’atteindre notre plein potentiel.

Connaissez-vous les 7 peurs et croyances limitantes qui peuvent vous freiner et vous empêcher de vivre la vie que vous souhaitez ? L’objectif n’est pas de vous stigmatiser, mais de vous donner l’occasion de les identifier et de les retourner à votre propre avantage :

Croire que la réussite nous permettra d’être heureux

Combien d’entre-nous sommes persuadés que nous serons plus heureux le jour où nous aurons atteint telle ou telle réussite :

  • Je serai plus heureux le jour où j’obtiendrai un salaire de 2.000€ par mois.
  • Je me sentirai satisfait quand je serai promu manager au sein de mon entreprise.
  • À partir du moment où j’aurai atteint tel échelon, alors là je pourrai me permettre de prendre du temps pour moi…

Ce ne sont que quelques-unes des croyances limitantes que nous nous créons par rapport à la réussite. Et le jour où nous obtenons le Saint-Graal, nous n’éprouvons qu’un sentiment de contentement passager… remplacé par une nouvelle attente, un nouveau désir, nous entraînant dans une spirale sans fin. La chose à comprendre, c’est que la réussite est un chemin à parcourir, et non une fin en soi. Et la question à se poser : « Comment puis-je être heureux maintenant avec ce que je possède déjà ?»

Croire que vivre fermer les yeux nous permettra de mieux le changement

Il s’agit d’une réaction classique face à un changement, qu’il s’agisse d’une transition de vie ou d’une transition professionnelle : nous nous persuadons que le changement auquel nous faisons face n’en est pas un. Et nous voilons la face, sans nous rendre compte que cet état d’esprit ne fait que renforcer notre blocage et notre sentiment de mal-être.

Au contraire, si votre sentiment vous fait ressentir une dissonance par rapport à ce que vous vivez, si vous rencontrez des blocages dans votre vie privée ou professionnelle, n’essayez pas de les combattre ou de les ignorer : acceptez-les, tels quels, et demandez-vous ce que vous voudriez mettre en place pour les dépasser ?

Croire que nous devions être capables de tout endurer

Nous évoluons dans une société dans laquelle le monde du travail n’a cessé de mettre à l’honneur la productivité, la performance, l’atteinte de résultats et d’objectifs… Et parfois, sans nous en rendre compte, nous nous persuadons que, quoiqu’il arrive, nous devons être capables de faire face à toutes les situations. Sans broncher, et sans jamais recevoir d’aide extérieure.

Et si vous pouviez faire appel à quelqu’un la prochaine fois que vous serez face au mur ? Demandez-vous qui serait la personne la plus à même de vous aider (un ami, un proche, un collègue, un coach…) et que faire pour éviter de rester seul face à vos problèmes et difficultés.

Croire que nos émotions peuvent être un aveu de faiblesse

Le monde du travail nous pousse très souvent à porter un masque au quotidien : la personne que nous sommes à la maison, et la personne que nous sommes au travail. Et que ce soit dans le milieu privé ou professionnel, certaines émotions restent souvent mal acceptées. Notamment les émotions comme la tristesse et la colère.

Dès lors, lorsque nous éprouvons ces émotions – et suite au conditionnement que nous avons vécu – nous nous efforçons de les repousser et de les contrôler… jusqu’au moment où nous n’y arrivons plus et nous finissons par craquer. S’il vous arrive de ressentir de la tristesse ou de la colère, évitez de la refouler, de la mettre de côté, et posez-vous la question : « Que signifie cette émotion, pour moi ? Que cherche-t-elle à me dire ? »

Croire que changer rapidement est un gage de succès

Lorsque nous faisons face à une transition de vie ou une transition professionnelle (un deuil, une séparation, un licenciement…), nous nous conditionnons instinctivement à rendre ce changement aussi rapide que possible. Nous faisons tout pour oublier les émotions que nous ressentons… et nous finissons par nous oublier nous-même dans le processus, dans l’espoir d’en être débarrassé rapidement.

Mais cela ne se passe pas ainsi ; Changer prend (souvent) du temps. Et il est important de pouvoir vous autoriser à vous laisser le temps de franchiser ou de contourner le mur auquel vous faites face, pas-à-pas, sans vous précipiter et sans vous juger.

Croire que le jugement des autres est meilleur que le nôtre

Il est dans la nature humaine de vouloir se sentir aimé et accepté par les autres. Le problème, c’est que – poussé à outrance – cette préoccupation peut finir par produire de nombreux effets négatifs dans votre vie. Notamment sur votre estime et votre confiance en vous. Dans un contexte où vous vous êtes obligé de plaire à tout prix et à tout le monde (votre conjoint, votre patron, vos amis ou collègues de bureau…), vous risquez de ne plaire finalement à personne.

Après tout, vous êtes la personne que vous êtes ; et en tant que responsable de votre propre vie, vous seul êtes le mieux armé pour décider en fin de course ce qui est bon pour vous : apprenez à vous respecter et à vous faire confiance !

Croire que ça n’arrive qu’à nous !

Enfin, c’est peut-être la croyance la plus évidente et à la fois la plus partagée : la croyance qu’il n’y a qu’à vous que tout cela arrive ! Pourtant, nous faisons tous l’objet de changements, de transitions dans nos vies. Que cela soit dans le domaine privé ou professionnel. Depuis notre naissance jusqu’à notre mort.

Prenez un instant pour regarder autour de vous : connaissez-vous une seule personne à qui rien ne soit jamais arrivé ? Qui n’avait vécu aucune phase de changement ou de transition dans sa vie ?…

Libérez-vous de vos croyances limitantes et transformez-les en croyances portantes

Apprenez à lâcher prise sur ces croyances limitantes. Apprenez à accepter de transformer ces croyances limitantes en croyances portantes. Cela représente un sérieux investissement en terme de travail sur soi.

Si vous n’arrivez pas à vous débarasser de vos croyances limitantes, vous pouvez bien sûr faire appel à un coach ou à un thérapeute si vous n’arrivez pas à vous en sortir seul.

L’important est que vous puissiez commencer au moins par identifier ces croyances limitantes, les reconnaître, les nommer. Ainsi, la prochaine fois que vous entendrez une petite voix dans votre tête qui vous dira quelque chose comme « Tu es trop nul ! », « Tu n’y arriveras jamais ! »… prenez-en conscience et notez ces croyances limitantes dans un carnet.

Puis, dites-vous que ces petites phrases, qui sont vos croyances limitantes, ne produisent pas la personne que vous êtes et que vous souhaitez devenir. Apprenez à distinguer ces petites voix de votre propre personne.

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croyances limitantes
Les 5 blessures de l’âme qui empêchent d’être soi-même

Les 5 blessures de l’âme qui empêchent d’être soi-même

blessures de l'âme

Quelles sont les 5 blessures de l’âme ?

Selon Lise Bourbeau, auteure du livre « Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même« , nous portons tous en nous une ou plusieurs blessures, venant de notre tendre enfance. Nous serions nées avec ses blessures qui seraient activées par l’attitude de nos parents envers nous dans nos premières années de vie et plus particulièrement entre l’âge de 1 an à 7 ans. La ou les blessures que nous portons en nous, expliquent certains de nos comportements.

En réaction à des situations qui nous blessent et pour se prévenir de souffrir nous portons un masque – une attitude face à certaines situations spécifiques qui a pour but inconscient de nous protéger.

Toujours selon Lise Bourbeau, notre physique même, révèlerait quelles blessures nous portons, le corps se formerait en réaction à celles-ci.

blessure de rejet

La blessure de rejet

Commençons cette découverte des 5 blessures de l’âme par celle du Rejet.

Activée lors de la première année de sa vie par le parent du même sexe, elle apparait quand un enfant a pu se sentir non désiré ou non accepté par celui-ci. Cette blessure est liée au Chakra du plexus solaire. L’adulte souffrant de celle-ci porte le masque du FUYANT. C’est-à-dire qu’il s’isole du monde,il est perfectionniste, idéaliste mais refuse de prendre de la place, de prendre sa place. Il panique facilement et se sent souvent seul. Physiquement, il peut posséder un corps étroit, petit, mince (il ne prend pas de place).

Comment guérir de la blessure de rejet ?

Vous vous reconnaissez dans cette blessure ? Ce n’est pas grave, justement une des choses à faire c’est d’affronter vos névroses et d’accepter votre souffrance. La reconnaissance et l’acceptation de nos blessures est la première étape vers la guérison.

Ensuite, priorisez-vous. Aimez-vous, affirmez-vous, osez dire non. Voyez l’abondance dans votre vie. Le fait de reconnaitre sa valeur et de la montrer au monde permet de guérir la blessure de rejet.

Si vous vous sentez seul, analyser la situation. Etes-vous vraiment seul ou ne voyez-vous juste pas les personnes qui vous entourent et vous aiment ? Arrêtez de fuir l’amour et l’attention qu’on vous porte, ce qui est la mauvaise habitude de la personne portant cette blessure.

blessure d'abandon

La blessure d’abandon

C’est peut-être la plus connue mais on peut parfois la confondre avec celle du Rejet. Les deux résultent d’un sentiment de manque d’affection mais celui-ci est plus fort pour la blessure d’abandon. Activée par le parent du sexe opposé lors des 3 premières années de vie, l’enfant a ressenti un manque d’amour, d’affection ou d’attention.

Cette blessure, liée au Chakra du cœur, amène l’adulte qui en souffre à porter le masque du DEPENDANT. Ne se sentant existé qu’au travers des autres, il est en recherche constante d’affection et veut attirer l’attention sur lui, parfois en étant souvent malade. Il ne sait pas être seul et se perd souvent dans l’autre quand il est en couple.

Physiquement, les personnalités souffrant de la blessure d’abandon auraient tendance à avoir un corps mou, de grands yeux tristes et une voix d’enfant (un corps très enfantin en fait).

Comment guérir de la blessure d’abandon ?

Si vous avez l’impression que je parle de vous, encore une fois : ce n’est pas bien grave, il y a juste un travail à faire sur soi pour se dépêtrer de ce schéma pas très épanouissant. Il vous faut faire preuve de plus d’autonomie. Apprenez à faire les choses seul et uniquement pour vous-même, selon votre degré d’autonomie actuelle, vous pouvez aller au musée, au cinéma seul, boire un café ou même voyager en solo. Il est très important pour les dépendants affectifs de s’assumer seul.

blessure d'humiliation

La blessure d’humiliation

La blessure d’humiliation est liée au Chakra sacré.

Si l’un de vos parents a réprimé votre plaisir physique entre 1 et 3 ans, que vous vous êtes senti brimé dans votre envie et votre liberté d’éprouver du plaisir ou que vous vous êtes senti humilié lors de l’apprentissage de la propreté, il se peut qu’une fois adulte vous portiez le masque du MASOCHISTE.

La personne qui souffre de la blessure d’humiliation cherche le plaisir mais le refoule, elle est sensuelle mais soumise. Elle peut trouver du réconfort dans la nourriture, souffrir de boulimie même. Le masochiste prend beaucoup sur lui et se sent souvent victime, tout en ne changeant rien à la situation.

Physiquement elle sera toute en rondeur avec une taille courte et une voix douce.

Comment guérir de la blessure d’humiliation ?

Soyez attentif à votre corps, prenez soin de vous, faites du sport, offrez vous des massages, soyez à l’écoute de vos besoins et vos envies. Il est important de lâcher-prise, de moins sentir le poids du monde sur ces épaules.

blessure de trahison

La blessure de trahison

La blessure de trahison est reliée au chakra racine qui nous connecte à la terre et à notre histoire personnelle.

Activée par le parent du sexe opposé lorsque l’enfant, entre 2 et 4 ans, a pu se sentir manipulé ou trahi. L’adulte qui en souffre porte le masque du CONTROLANT. Physiquement fort avec un regard intense, et une tendance à parler fort, ces personnes ont tendance à chercher à être important, spécial, à avoir une forte personnalité qui aime contrôler et séduire. Le contrôlant a beaucoup d’attentes envers autrui. Il aime prévoir pour mieux contrôler et déteste l’imprévu. Il a une forte personnalité et peut être agressif, colerique, soumis aux sautes d’humeur.

Comment guérir de la blessure de trahison ?

Lâchez-prise ! Acceptez d’être bousculé dans votre vie et vos habitudes, faites confiance aux autres, sortez de votre zone de confort. Comment ? En innovant, allez vers des gens et des situations qui ne sont pas habituels pour vous, en suivant les idées d’une autre personne sans donner votre avis et prendre du plaisir à tout cela ! Arrêtez de vouloir tout contrôler en laissant l’initiative à d’autres personnes, en acceptant de faire confiance aux autres.

blessure d'injustice

La blessure d’injustice

La blessure d’injustice est reliée au Chakra de la gorge.

Quand un enfant, surtout entre 4 et 6 ans à ressenti le parent du même sexe comme insensible et froid, il peut avoir développé cette blessure et, une fois adulte, porter le masque du RIGIDE. Eternel optimiste même quand rien ne va, cette personne veux vivre dans un monde parfait et se coupe de sa sensibilité, alors qu’il est souvent très sensible justement. Très exigeant envers lui-même, physiquement très soigné, avec une voix sèche, le rigide a du mal à pardonner et peut être fortement rancunier. De nature ordonnée, la personne rigide souffre de stress, n’arrivant pas a se laisser aller et elle peut paraitre froide car elle ne se laisse pas approcher et n’arrive pas à montrer son affection.

Comment guérir de la blessure d’injustice ?

Acceptez de faire des erreurs, acceptez celles des autres également. Autorisez-vous à ne pas être parfait. Exercez-vous à parler de vos émotions, exprimez-les sans peur du jugement. Vous pouvez commencer par les observer et les écrire dans un journal puis à les exprimer à haute voix à vos proches. Vous verrez, en vous ouvrant au monde, vous verrez l’humanité de votre imperfection !


Les soins énergétiques peuvent vous aider à vous soulager si vous vivez une situation souffrante due à ces blessures, ainsi que les guidances intuitives qui peuvent vous aider à mettre des mots sur vos blocages.

Ainsi, si vous en ressentez le besoin, n’hésitez pas à me contacter pour un soin énergétique ou pour une guidance intuitive.

Je vous invite également à écouter l’épisode de mon podcast sur les 5 blessures de l’âme.

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Lâcher prise ou comment se reconnecter à soi-même ?

Lâcher prise ou comment se reconnecter à soi-même ?

Nous avons tous besoin de sécurité, de stabilité, de contrôle de notre environnement, des autres et/ou de nous même.

Notre besoin de contrôle et de maîtrise s’explique par notre besoin de sécurité. C’est une manière de nous rassurer, de diminuer notre anxiété. Le manque de contrôle génère du stress.

Lâcher prise, c’est accepter de laisser de côté notre tendance à vouloir contrôler la vie, les gens, les choses, nous-même.

Qu’est ce que le lâcher prise ?

  • C’est apprendre à vivre dans le présent.
  • C’est devenir flexible, c’est savoir s’adapter, accepter les choses nouvelles. Nous nous transformons physiquement, intellectuellement, émotionnellement tout au long de notre vie. Il est illusoire de lutter contre le changement : rien n’est permanent.
  • C’est se désencombrer de l’inutile ; c’est cesser de s’accrocher à des choses dépassées qui nous empêchent d’évoluer ou qui ne servent plus à rien.
  • C’est un acte de confiance envers soi, les autres et la vie. C’est laisser aller notre besoin de tout contrôler par peur d’être dominé(e) ou de commettre des erreurs.
  • C’est reconnaître nos propres limites et surtout les accepter, ainsi il est plus facile d’accepter celles des autres.

Sur quoi peut porter le lâcher prise ?

Le lâcher prise peut porter sur nos croyances, notre contrôle de l’autre, le passé, le futur, notre environnement.

1/ Nos croyances

Nos croyances donnent lieu à des attentes exigeantes vis-à-vis des autres et de nous-même :

  • Lâcher prise des jugements à propos de soi
  • Lâcher prise de notre besoin d’être parfait(e)
  • Lâcher prise des jugements à propos des autres
  • Lâcher prise du désir d’avoir raison
  • Lâcher prise de sa culpabilité
  • Lâcher prise des règles inutiles et des obligations que l’on s’impose

Au fur et à mesure que nous nous défaisons de nos croyances encombrantes, nous prenons conscience de qui nous sommes réellement.

Lâcher prise c’est accepter d’être soi, c’est se faire plaisir au lieu d’effectuer des tâches contraignantes ou ennuyeuses que nous nous imposons pour répondre à des obligations parfois extrêmes ou infondées.

Vouloir tout contrôler ou être obsédé(e) par la perfection peut conduire au surmenage, à l’épuisement professionnel et à des conflits personnels ou professionnels.

2/ Notre contrôle de l’autre

Lâcher prise c’est renoncer au désir de changer l’autre, c’est accepter la liberté de l’autre, c’est accepter de ne pas contrôler les autres, qu’ils s’agissent de son conjoint, de ses enfants, de sa famille, de ses amis ou de ses collègues. C’est accepter leur façon de vivre même si ce n’est pas de la manière dont nous souhaiterions qu’ils vivent.

Vous êtes-vous jamais demandé si vous aimez être contrôlé(e) ?

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3/ Notre passé

Lâcher prise, c’est apprendre à vivre le moment présent. Rien n’est permanent, tout évolue, il est donc inutile de vouloir retenir le passé : il faut accepter le changement pour avancer. Le changement peut nous apporter des choses positives.

Les regrets vis-à-vis du passé nous empêchent de vivre dans le moment présent. Ils peuvent générer de la nostalgie, de la colère ou de la culpabilité. Les regrets sont des pensées qui parasitent votre vie. Vivre dans le passé nous empêche de vivre dans le moment présent et de profiter réellement de notre vie.

Lâcher prise du passé, c’est accepter son passé, y renoncer, en faire le deuil, se délivrer des émotions négatives (peur, colère, tristesse…), c’est lâcher prise des blessures que nous avons subies pour pouvoir continuer sur notre chemin de vie. 

Enfin, lâcher de prise du passé, c’est pardonner aux autres ou à nous-même ; c’est un chemin de libération à l’intérieur de soi, c’est une manière de retrouver de la sérénité au fond de soi.

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4/ Notre futur

Lâcher prise du futur, c’est accepter de s’ouvrir à ce qui vient, c’est changer de regard, modifier son interprétation, modifier ses attentes. Ce n’est pas renoncer à ses buts ou ses projets : lâcher prise, c’est accepter de différer son action, c’est être ouvert à la possibilité d’agir autrement.

Lâcher prise du futur, c’est accepter de faire évoluer nos objectifs ; en effet parfois il faut prendre conscience que certains de nos désirs représentent des objectifs inaccessibles. Ces modèles créés par notre société peuvent être pour nous des « modèles de perfection » souvent extrêmes, inatteignables, et par conséquent, frustrants. Ils représentent des rêves toxiques, particulièrement lorsqu’ils virent à l’obsession et nous empêchent de profiter du moment présent.

5/ Notre environnement

Lâcher prise c’est accepter de ne pas pouvoir tout maîtriser, gérer, contrôler autour de nous, c’est accepter de ne pas avoir de capacité d’action sur tout ou tous.

Nous pouvons nous sentir agressé(e) par notre environnement ; la météo, la circulation, l’actualité transmise par les médias peuvent générer chez nous de la colère, de l’inquiétude, du stress.

Lâcher prise de son environnement, c’est décider que la paix est plus importante que le conflit, que l’essentiel de la vie ne réside pas dans les détails. C’est se concentrer sur le positif, le beau, le bon.

COMMENT APPRENDRE À LÂCHER PRISE ?

Je vous transmets quelques conseils pour lâcher prise au quotidien :

  • Apprendre à vivre dans l’instant présent : il s’agit de choisir de profiter et d’apprécier le présent plutôt que de vivre dans le passé ou de se projeter dans un futur fantasmé.
  • Avoir conscience que rien n’est permanent, tout est en perpétuelle évolution : il est illusoire de lutter contre le changement.
  • Etre plus indulgent vis-à-vis de nous-même : il s’agit de reconnaître et accepter nos propres limites. Il faut savoir admettre et accepter l’échec : il faut nous libérer de notre orgueil. Tout ne dépend pas de nous et nous ne pouvons pas toujours être au top.
  • Etre plus indulgent vis-à-vis des autres : il s’agit de reconnaître et accepter les limites des autres, cesser les reproches injustifiés, accepter les autres tels qui sont ; nous n’avons pas toujours raison, notre point de vue n’est pas forcément le meilleur, il faut nous libérer de notre orgueil.
  • Arrêter de vouloir contrôler l’incontrôlable : il faut reconnaître que nous n’avons pas le pouvoir sur toutes les choses, il faut accepter que nous ne pouvons pas tout maîtriser, contrôler. Il faut discerner les choses sur lesquelles nous pouvons agir et celles sur lesquelles nous ne pouvons pas ; nous pouvons être maître de notre vie tout en acceptant ce qui ne peut pas être modifié.
  • Faire le tri de nos responsabilités : une partie des responsabilités que l’on porte ne nous incombe pas vraiment. Cela peut générer de la culpabilité. Nous perdons notre énergie à vouloir changer des choses qui ne sont pas de notre ressort. Il faut concentrer notre énergie sur des éléments et des domaines qui nous concernent et sont sous notre responsabilité.
  • Recenser nos croyances et nos obligations limitantes ; il s’agit de faire le point sur les croyances qui nous bloquent et les obligations qui sont injustifiées aujourd’hui.
  • Il faut renouer avec notre véritable authenticité et cesser d’imiter nos semblables. S’intéresser au sens que l’on veut donner à sa vie permet de lâcher prise sur les éléments qui nous paraissent secondaires.
  • Lutter contre nos peurs : laisser aller nos peurs d’être dominé(e) ou de commettre des erreurs.
  • Choisir l’optimisme et avoir confiance ; lâcher prise est un acte de confiance envers soi, les autres et la vie.
  • Se libérer de nos réactions automatiques, être conscients de nos réactions, essayer de réfléchir, de prendre du recul et d’observer les situations avant de réagir de manière impulsive.
  • Cultiver l’humour et la dérision, ne pas se prendre au sérieux, prendre du recul sur les événements en riant. Le plus simple pour se débarasser d’une pensée négative est d’en rire.

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